Le première assemblée générale pour une nouvelle société privatisée est toujours un rendez-vous populaire pour les nouveaux actionnaires. Pas de chance le Français des Jeux, qui, crise sanitaire obligatoire, a dû tenir sa réunion chaque année à huis clos.
Fermer de 500 mille Français ont acheté des titres de la société au moment de sa IPO en novembre dernier.
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Le Stéphane Palez, directeur du groupe, explique la « décision difficile » pris en avril pour réduire de 30% le montant du dividende : « 2019 est une année d’excellents résultats, il est juste que les actionnaires avantage », mais il était également nécessaire « en raison du niveau élevé les incertitudes protègent la situation financière de l’entreprise à moyen terme. »
Le le dividende a été réduit à 0,45€ par action contre 0,64 initialement prévu, qui met en évidence au cours du rendement actuel de 1,47%. Il sera mis en paiement le 30 juin.
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A nouveau conseil est nommé correspondant « au meilleur planche standard de la place » selon Mme Palez. Et la raison au premier opérateur de jeu en France a été révélé aux actionnaires.
Le crise sanitaire « d’une nature et d’une ampleur exceptionnelles » ne s’était pas avéré « sans effet sur le FDJ », a déclaré le dirigeant, et il ne sera pas « sans conséquence de la vision de l’avenir » les a ajoutées. Le groupe devra accélérer ses axes de transformation et élargir l’approche de l’entreprise pour diversifier ses activités.
« Le FDJ a pu confirmer sa résilience et son statut de valeur défensive sur l’avion titulaire de bourse », a-t-elle conclu de toute façon. En preuve, le titre a été attribué plus de 56 % par rapport à son prix de libération, et est traité au plus haut niveau.
Pas à l’abri de la crise
L’ impact de la crise évaluée lorsque résultats du premier trimestre ont été publiés révèle conformément aux estimations initiales. Chaque mois de confinement réduction des ventes de près de 100 millions d’euros, et le résultat brut (Ebitda) d’environ 50 millions.
Le les paris ont diminué de 60% au cours de la période en raison d’une baisse de 40% de l’activité loterie — le déclin de la présence dans les points de vente n’est pas compensé par le succès de la loterie en ligne -, et un effondrement de paris sportifs en raison de l’annulation de toutes les compétitions sportives.
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Dans en conséquence, le groupe a lancé un plan d’épargne de 80 millions d’euros sur pour l’ensemble de l’exercice 2020, qui dépasse 10% des coûts fixes annuellement. En outre, il a une position financière solide, avec un trésorerie nette, et peut mobiliser à tout moment plus de 800 millions d’euros.
Depuis la fin de la confinement, le FDJ note une « récupération progressive de activité » grâce en particulier à la « réouverture de presque tous points de vente » et la reprise des championnats partout en Europe.